Avant-centre

Milieu offensif

         
Attaquant ou milieu de terrain offensif très athlétique, il possédait une frappe de balle qui faisait souvent mouche et un bon jeu de tête.
         
 
           
NOM :   BARTHOU
Prénom :   Olivier
Né le :   11 avril 1953 à Bordeaux (Gironde)
     
    Taille : 1,78 m
Poids : 72 kg
           
 

 
 
         
         
Au club de :   Juillet 1975 à Juin 1979
     
En provenance de :
  AS Libourne
     
Club suivant :   AS Libourne
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  68
    22
Matches :   Buts :
     
         

 

Recruté chez les voisins libournais, Olivier Barthou arriva sur la pointe des pieds chez les Girondins. Il commença à pointer le bout de son nez lors de sa première saison suivante (6 matches).

 

Il accomplit ensuite des saisons honorables en terme de participation et d'efficacité avec notamment 10 buts lors de la saison 76-77. Mais durant l'exercice 1978-1979, il ne prit part qu'à une seule rencontre, mis sur la touche par l'entraîneur Luis Carniglia. Il était l'heure pour lui de retourner à Libourne, avant de répondre à l'appel du grand large, à Atlanta (Etats-Unis).

 

 

Un Français aux Etats-Unis

 

Joueur des Girondins depuis 1975, Olivier Barthou perdit sa place avec l'arrivée de Luis Carniglia sur le banc. Aussi, il décida de quitter Bordeaux et, après une courte escale à Libourne, s'envola pour les Etats-Unis en 1980.

 

Il reste comme l'un des rares joueurs français à avoir joué au soccer aux Etats-Unis, en intégrant les rangs des Atlanta Chiefs, puis ceux de New York United. Il accompagnait son épouse qui entamait un troisième cycle d'études.

 

Sur la radio ARL, il témoignait : « Ce n’était pas un défi. J’y suis allé parce que mon ex femme était mutée aux USA. Je l’ai rejoint mais pas dans le but de jouer au football. Je travaillais dans un restaurant et j’ai rencontré quelqu’un qui m’avait reconnu du fait de mon passage aux Girondins. Deux jours après, il m’a annoncé qu’il avait un contrat pour moi à Atlanta. Il m’a payé le voyage pour y aller, j’y suis resté une saison. Je suis ensuite parti évoluer dans une équipe de New York avant de rentrer à Libourne […] Il n’y avait pas vraiment de différences car il y avait beaucoup de joueurs européens et Sud américains et finalement très peu d’américains. Le niveau était comparable à la deuxième division française de l’équipe. Beaucoup de grands joueurs venaient déjà terminer leur carrière là-bas. »